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LA CRÉATRICE

Les présentations

Je me présente, je m’appelle Clara LARRIEU, j’ai 31 ans. Je n’étais pas destinée à devenir créatrice coutelière mais après plusieurs années à travailler dans le monde de l’audiovisuel à Paris, j’ai pris la décision de tout quitter et d’entamer une reconversion professionnelle. L’envie de revenir vivre près de mes racines dans le sud-ouest de la France devenait trop présente dans mon quotidien.

Un peu de notre Histoire

Revenir à l'essentiel

J’ai toujours connu mon père avec sa collection de couteaux, il a toujours aimé ça. L’idée de créer un couteau régional vient d’ailleurs de lui, à la base. Mais, faute de temps, il n’a jamais pu se consacrer pleinement à ce projet. Forcée de devoir me réinventer, j’ai moi aussi commencé à m’intéresser à la coutellerie. J’avais envie de revenir à des valeurs qui me correspondaient plus, j’avais envie de créer et de laisser mon imagination guider mes gestes. J’ai toujours été attirée par le monde de l’artisanat et j’avais la sensation que mon épanouissement professionnel se trouvait là.

LE SOLEN

L'idée du Solen

Très attachée à ma région natale, le fait d’inventer un produit innovant aux allures de mon enfance a pris tout son sens en septembre 2019. Après plusieurs mois de réflexion et ma merveilleuse rencontre avec le coutelier d’art et formateur Monsieur Raymond ROSA, l’Atelier Rosie et son Solen ont pu finalement voir le jour en janvier 2021.

Oh Rosie !

Pourquoi l'Atelier Rosie ?

Le choix de ce nom est un hommage à ma grand-mère paternelle qui s’est éteinte peu de temps avant de débuter ma formation en coutellerie. Elle s’appelait Rosie, j’ai toujours trouvé ce prénom chantant, et sans elle ce projet n’aurait peut-être jamais vu le jour… Nous pouvons dire que cette belle aventure dans laquelle je me suis lancée est en quelques sorte une histoire familiale. Mon couteau de table s'appelle L'Oyat, ce nom a été choisi en hommage à mon oncle qui a rejoint ma grand-mère il y a peu. Pour moi, un couteau est un objet rempli d'histoire et à travers ces noms je peux faire perdurer la mémoire de ces êtres qui m'ont été chers. La suite reste à écrire.